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Time Crisis

Face au déballonnage de deux membres de la Jubox devant la perspective de chanter sur l’interweb, je vous propose aujourd’hui un billet qui n’a rien à voir avec le Vocoder(private joke). Le sujet du jour est en proie avec l’actualité socio-économico-lagardèro-mondiale.


Rappelons nous ce qu’a dit le poète: « Y a des jours comme ça où tout se passe pas pour le mieux … » En effet, Cool Chêne l’avait bien senti: « des fois, tout part en couille », des fois c’est la criiise ! Et au bout d’un moment ça casse les bonbons. Voire les pieds. Alors que faire, que faire quand la dépression guette, quand la corde du pendu pend? Se droguer aux aspirines façon Maryline ?
Non, la solution tient en trois mots: Bassline, kuduru et funk (brésilienne).


Jubox oblige, on commence par de l’electro ^^
La bassline est née dans le nord de l’Angleterre conjuguant ainsi Bad boys et rouquins. Elle se caractérise par une ligne de basse de dance dopée et est très en vogue outre Manche. On retrouve un des tubes de 2008 « What it’s gonna be », Kano le prince de la Grime qui cachetonne, et de la dance music qui donne envie d’être une fille de 17 ans…



Le kuduru. Aaaaaah, le kuduru. C’est avant tout une danse pareille au Mapouka, N’dombolo, Merengue et autres danses à frottements élevés. Le nom vient du portugais et signifie (jteldonnenmilleémile) « Cul dur ». On retrouve donc mes potes lusitano-angolais du Buraka Som Sistema avec une version Live de Kalemba, leur dernier banger en date, puis en collabo avec MIA sur l’infamous Sound of Kuduru: du bonheur à tartiner



Avant de conclure, petit tour par le pays des Shemales/Fesses en plastiques: Brasil!!!!
Dans les favelas, ce qui marche depuis plusieurs années, outre les mitraillettes lourdes et les clichés, c’est les baile funk: sortes de rave party des favelas. Musique entraînante, paroles … euh, paroles, et danse frotti-frotta sont au menu avec l’un des boss du genre Sany Pitbull et sa pote Deize Tigrona. « Monte le son à fond » !
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